Contrat de soumission de Lola

Ce contrat a été le mien avec Maître Denis, puis avec Maître Jérôme qui a pris le relais de mon dressage. Désormais je suis disponible pour un Maître.

 

Le Maître: Lola accepte la soumission en tant que larve obéissante.  Elle pourra être munie de collier, laisse, cagoule totale, et autres liens.  Elle pourra être féminisée par vêtements et sous-vêtements féminins.  La larve devra avaler à la demande sperme et urine, sentir, lêcher,  sucer queue dure ou molle,  se faire limer la bouche les mains attachées dans le dos,  bien se servir de sa langue pour satisfaire l'anus de son Maître.  La larve recevra claques, positions humiliantes, face sitting.  L'esclave Lola devra obéir en toutes circonstances sans rien dire.

 

Lola: J'accepte d'être votre esclave et votre soumise, j'accepte de vous obéir en toutes circonstances, j'accepte, prosternée, tous vos ordres. Je vous remets à nouveau mon corps à vos désirs, et à vos fantasmes. Je me considère comme votre esclave.

 

La soumise peut être contactée par mail et MSNà l'adresse: 

binaturdou (arobas) hotmail.fr

La soumise Lola doit accepter d'honorer (avec protection) tous les hommes qui la désirent. Et le Maître peut décider d'offrir sa soumise à des personnes de son choix. Dans ce cas, la soumise obéira à ces personnes exactement comme s'il s'agissait de son Maître.



Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 14:19

 

Mon Maître me convoque pour une soumission.

 

Les directives:

- tenue de mon choix, la plus salope possible

- accessoires habituels

 

Je me présente à son hôtel à 17h30 pour me préparer (il n'arrivera qu'à 18h30)

 

je me déshabille. ma tenue:

 

- bas couleur chair

- guêpière rouge

- soutien-gorge + faux-seins

- vernis rouge aux ongles

- rose aux lèvres

- chemisier blanc

- jupette écossaise

- collier de chienne

- perruque

- bracelet

- petit lien rose à la cheville

- chaussures à talons

- bandeau épais pour les yeux

 

Cette préparation est longue, et je suis prête juste à tant quand mon Maître me signale par SMS qu'il arrive.

 

Je prends la pose imposée pour l'accueillir comme une soumise obéissante et respectueuse: à genoux sur le lit, mains dans le dos, tête baissée.

 

Il arrive. Il m'inspecte en détail, soulève ma jupette.

Petit coup de cravache pour me dire bonjour.

 

Il se prépare. Evidemment mon bandeau m'aveugle parfaitement. Je repère ses mouvements seulement au bruit.

 

Il me prend en photos.

 

quelques coups de cravache pour me mettre en condition.

 

je dois me mettre sur le dos.

 

Il me demande de relever mes jambes très haut. Je sens qu'il déroule la corde ... Il passe la corde sur un de mes pieds... il la bloque sur le talon haut de ma chaussure.

 

J'entends qu'il fait passer la corde dans la structure métallique du lit en étage.

 

la corde revient et il attache mon autre pied. mes deux jambes sont donc maintenues très écartées, exhibant sans protection mon sexe. S'il doit me frapper, je ne pourrais pas me protéger.

 

Cette situation me donne le frission mais en même temps me donne une sensation fabuleuse de soumission totale. Je me sens complètement à sa merci.

 

Bien sûr, je sais bien qu'à tout moment il me serait possible d'arrêter le jeu et la confiance que je porte à mon Maître me rassure. Mais je garde en moi cette petite frayeur... en fait, la peur que j'éprouve n'est même pas des coups qu'il va probablement m'asséner mais plutôt sur ma propre capacité de garder la dignité de soumise qu'il attend de moi.

 

La seule idée de baisser les bras et de demander que mon Maître son dressage simplement parceque je ne suis pas à la hauteur de ses exigences ma révulse.

 

il commence par écarter brutalement mon string et me pénètre rapidement. Une bouffée de bonheur m'envahit. J'aurais presque envie de pleurer

 

mais il se retire de moi et m'enfonce le plug. Il joue avec le plug.

 

des photos...

 

puis pendant un très très long moment il va jouer avec la cravache: la verge, testicules, cuisses subissent tour à tour la violence des coups...

 

la douleur est terrible évidemment surtout quand il vise les testicules... mais je réalise que ... j'aime ça!!! Pas la douleur elle-même, mais le fait que c'est lui qui la provoque, qu'il me soumet et qu'il a obtenu ça de moi...

 

mais au contraire, quand il vise mes fesses ou le plug, j'ai envie de jouir.

 

Il le remarque et me fait sortir ma verge du string. Je dois manipuler le plug moi-même et il m'ordonne de me branler.

j'ai tellement envie de lui dire NON!!! mais je sais bien que je n'ai pas le droit de refuser.

 

La douleur psychologique au fond de moi est terrible au point que les coups de cravache sont comme un bonheur qui adoucit la sensation violente de devoir utiliser mon sexe d'homme devant lui. Il me soumet, m'humilie comme rien ne pourrait le faire. J'ai tellement d'être femme pour lui...de n'être QUE femme pour lui.

 

Bientôt la nature exige son dû et je jouis dans ma main et sur mon string.

 

Il peut maintenant me sodomiser et je suis heureuse car je n'ai plus de sensation physique après mon éjaculation

 

Je suis heureuse car mon corps n'est plus qu'une machine à offrir le plaisir pour cette pénétration de cet homme qui me possède très violemment maintenant.

 

Ses cris de jouissance me comblent

 

je n'étais enfin qu'une chose à son service unique

 

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Merci

Merci

Merci

Merci Maître

 

Par lola
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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 14:10

 

Grâce au site de la boutique j'ai découvert que je pouvais trouver une perruque.

 

Après avoir contacté une amie qui vendait une perruque, je suis allée la voir et j'ai pu essayer plusieurs modèles ...

 

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Je me sens vraiment femme avec cette nouvelle coiffure!!!

 

Merci Françoise ... qui est à l'occasion d'une rencontre délicieuse entre filles...

 

Par lola
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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 10:25

Maître

Je suis allée faire des achats ce midi (vendredi 13/07)

Je suis allée dans la galerie marchande à M.... Il y a plusieurs boutiques de vêtements de femme.

Ma tenue:

  • Talons hauts, bas + guêpière
  • Faux-seins + soutien-gorge
  • chemise
  • pantalon
  • foulard (celui avec lequel je vous ai caressé)
  • veste en daim


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Je suis entrée dans une des boutiques. Il y a un grand choix.

Il y avait plusieurs clientes, et une vendeuse. Au sol, du parquet qui faisait claquer mes talons.
J'ai longuement parcouru les rayons pour choisir.

 

J'ai choisi 3 modèles de chemisiers, puis je suis allée trouver la vendeuse (qui était à sa caisse) et je lui ai demandée pour essayer. Elle m'a conduite à une cabine.

 

Je lui ai aussi demandée si je pouvais prendre des photos, car il fallait que "mon Maitre voit mes choix". Elle n'a pas posé de question par rapport au terme de "Maître", elle a juste accepté. Mais je n'ai pas osé lui demander que ce soit elle qui prenne les photos.

J'ai donc essayé les trois modèles (voir les photos)
J'en ai pris deux (ils étaient en solde et très bon marché!)
Ensuite je lui ai expliquée mon choix (le premier était serré et trop court)

 

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Quand je suis partie, j'ai continué un peu dans la galerie marchande et j'ai bien vu que la vendeuse était sortie de sa boutique pour me regarder.
Mais elle est toujours restée très souriante! (sans doute un peu moqueuse...)

Bien sûr ma tenue était tout à fait explicite.

Lola votre soumise

Par lola
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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 10:08

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Pour améliorer ma féministation, je suis allée vendredi 06/07 acheter des faux seins.

 

C'est assez difficile, il n'y pas beaucoup de choix en réalité. Surtout des 'réhausseurs' destinés aux femmes.
Ou bien des choses très chères (200€)

Après plusieurs essais, j'ai opté pour une des boutiques du Bd de Clichy, près de la place Pigalle

J'ai trouvé une prothèse raisonnable (39€) (photos de la boîte et sur moi avec mon soutien-gorge)

 

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Les deux seins sont solidaires d'une "peau" couleur chair, et sont tenus par des bretelles genre SG. J'ai pu mettre mon SG par dessus... c'est assez beau même si mon SG s'avère trop petit (bonnet)

Il y avait 2 tailles, j'ai pris la moins grande (l'autre n'était pas adaptée par rapport à mon gabarit)

 

J'ai hâte de sortir avec !!

Par lola
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Vendredi 15 juin 5 15 /06 /Juin 22:52

Nuit de soumission

Je viens chercher mon maître à la gare.

Tout de suite arrivés, les directives sont là, déjà préparées par lui :

Il ne doit pas avoir besoin de repréciser ce que je dois faire : travestissement, maquillage, présentation des accessoires de soumission. J’ai préparé mes accessoires habituels :

Collier de chienne, talons hauts, bas, guêpière, jupettes, bijoux, gel, préservatifs, cordes de bondage, cravache, gants de latex, et surtout le foulard de soie pour lui.

Je dois me déshabiller entièrement.

Je dois me présenter à mon Maître. Je sais ce qu’il va me demander. Tout est prévu. Le mot magique est prononcé :

« toilettes »

Il me demande où cela va se passer. Je l’emmène vers la salle de bains. Il m’indique la cabine de douche.

« à genoux ! »

La verge est sortie. Il se concentre. Le jet sort, frappe mes joues, mes épaules, ma poitrine, mes lèvres. J’ouvre la bouche, l’urine pénètre dans ma bouche.  J’avale, péniblement. Il secoue sa verge.

« allez, continue de te préparer, fais toi belle »

Il va se détendre, en attendant que je me prépare.

Je me douche. Le goût fabuleux est dans ma bouche.

Je dois ma maquiller…

Rouge à lèvres, un trait noir autour des yeux, paupières bleues.

Habillage : ce ne sont pas les affaires que j’avais préparées… il a fait son choix :

Un body noir en satin avec un soutien-gorge sexy, une jupe pas très courte, des bas chair, les talons hauts, un chemisier chamarré translucide, les bijoux.

Maintenant, je dois préparer mon ordinateur pour la vidéo. Je vais utiliser inter-chat et MSN. Un tabouret pour positionner l’ordinateur devant le lit.

Je crois que je suis prête. Je m’offre à mon Maître.

Il commence à me frapper avec la cravache. Je dois raconter pourquoi je n’ai pas obéi dans la boutique où je me suis achetée le soutien-gorge. Je dois lui expliquer que j’ai failli, que je n’ai pas réussi à convaincre la vendeuse de me photographier pendant l’essayage. Je sais que je mérite une punition pour cette défaillance.

Finalement, je suis trop habillée, il ne peut pas me corriger.

J’enlève la jupe, le body, le chemisier.

A quatre pattes sur le lit.

La cravache s’abat sur mes fesses, sur mes testicules, sur ma verge.

 

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Il me laisse après une longue séquence qui m’épuise.

Il a enfilé les gants de latex.

« tu sais ce que je vais faire ? »

«  oui Maître, je m’en doute. Mais, s’il vous plait, vous savez bien que je suis étroite… »

« n’aie pas de crainte »

Très vite il me pénètre avec son doigt, sans doute plusieurs doigts, je ne sais pas, il est assez violent dans sa pénétration.

Bientôt il m’annonce qu’il a réussi à entrer quatre doigts. Il manipule ma chatte ne nombreuses fois, entrant puis sortant. Je sens venir le plaisir malgré la violence de ses pénétrations.

Il n’aura pas envie de me sodomiser ce soir. Est-ce que ça fait partie de ma punition ?

Il me demande de me relever. Il prépare la corde.

Il me bande les yeux.

« tu ne dois pas voir ce que je vais faire »

Une boucle autour du cou, je reste je ne me rends pas compte, mais la corde vient autour de mes testicules, autour de ma poitrine, il laisse mes bras libres, mes jambes.

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Plus tard…

« maintenant tu vas t’occuper de moi »

Il se couche sur le lit.

Je prends le foulard de soie. Je commence le plus doucement possible à lui caresser la verge, les testicules, le ventre, les cuisses. Je sens sa verge durcir sous le tissu si doux.

Je le branle, j’hésite, je voudrais tellement lui faire plaisir. Je me sens tellement maladroite.

Mais le bonheur quand il me demande :

« comment veux-tu que je jouisse… »

Ma réponse est timide

« dans ma bouche Maître… »

Je continue ma caresse, et sa verge se durcit de plus en plus.

Il écarte le foulard.

Il appelle ma bouche.

Je ne dois plus bouger. C’est lui qui baise ma bouche. Il se tend comme un arc et éjacule dans ma bouche en poussant un cri rauque.

 

Du temps…

On se prépare à aller se coucher, mais avant….

« toilettes »

Cette fois-ci il laisse sa verge dans ma bouche qui se remplit de son urine. J’avale difficilement les longs jets.

 

Je prends une douche.

Je range un peu.

Je suis secouée par l’intensité de cette soirée.

 

Il sait que j’ai besoin d’être soumise.

 

Le matin…

 

J’ai fait sonner le réveil bien avant lui. Petit déjeuner, rasage, rangement.

Quand il est l’heure, je le rejoins, je le caresse avec le foulard. Il se réveille lentement. Quand il reprend conscience, je passe sous la couette, je caresse sa verge qui s’est durcie très vite.

 

Le jeu… la caresse, longtemps je sens la verge qui durcit, les gémissements qui augmentent.

Il veut ma bouche.

Je désire sa jouissance.

Il me baise.

Il jouit.

Je voudrais je garder longtemps dans ma bouche. Ce n’est pas son désir.

 

« toilettes »

 

Je suis à genoux dans la douche.

Il arrose tout mon corps, longtemps. Il ne veut pas que je boive.

 

Douche…

Longtemps…

 

Merci mon Maître.

 

 

 

Par lola
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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 15:11

Mon Maître m'a convoquée jeudi 14 juin pour une séance de dressage et de soumission

Au programme:

- bondage

- cravache

- obéissance

 

 

Par lola
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Jeudi 7 juin 4 07 /06 /Juin 10:13

Hier mercredi 6 juin. Mon Maître me convoque pour satisfaire son besoin et pour vérifier mon obéissance récente.

Je dois me présenter avec serviette, plug, préservatifs et gel.

Je vais en outre apporter la longue corde et la cravache qu’il m’a ordonnée d’acheter.

On se retrouve à l’heure dite à son hôtel, après que je lui aie relaté ma tentative pour exécuter un de ses ordres : je devais me rendre dans une boutique de lingerie, acheter une lingerie, et prendre des photos de mon essayage, puis faire signer une lettre indiquant mon état de soumise par la vendeuse. Je me suis rendue dans une boutique comme demandé, j’ai acheté un soutien-gorge, en indiquant bien que c’était pour moi, mais la vendeuse n’a pas accepté de prendre de photos ni de signer la lettre. Bien sûr ceci est une faute. Et je savais que cela mériterait une punition.

-          Tu te déshabilles, tu étales les accessoires que tu as amenés, et tu te positionnes à quatre pattes sur le lit.

Maître fait l’inspection de ce que j’ai amené.

Je n’ai gardé que les bas et la guêpière.

Le premier geste est de m’enduire abondamment l’anus de gel et d’enfiler le plug. Malgré que j’avais posé le plug plusieurs heures dans la matinée, Maître sent bien que je ne suis pas suffisamment ouverte, et il doit s’y reprendre à plusieurs fois pour faire l’entrer le plug, et il termine sans ménagement ce qui me cause une vive douleur.

Puis, il se saisit de la cravache, et commence à essayer cet objet qui est nouveau pour nous deux. Fesses, ventre, seins, dos puis testicules, verge sont les cibles de son dressage. La force va croissante et au début, même si je sursaute à chacun des coups, je supporte sans problème les brûlures. Les coups sur mon sexe sont à la fois les plus éprouvants mais aussi ce sont eux qui m’apportent la plus grande émotion.

J’ai tout de suite le désir d’écarter mes jambes pour qu’il se sente libre d’accéder à ces parties sensibles de mon corps.

La pression augmente.

Il m’ordonne de me mettre sur le dos, me fait largement écarter les jambes. Les coups redoublent. Il se concentre maintenant sur ma verge et plus légèrement sur mes testicules. J’ai énormément de mal de refreiner mes gémissements et surtout je sais que je ne dois pas crier (on est dans un hôtel et les cloisons sont très fines…). Ma plus grande peur à cet instant-là c’est précisément de savoir si je serai capable de maîtriser mon envier de crier.

La force des coups augmente.

Il a maintenant un rythme régulier, toujours sur ma verge allongée sur mon ventre. Je suis en érection, et je ne sais pas si ce sont les coups eux-même qui me la provoquent ou bien la sensation incroyable de soumission qui m’envahit à cet instant.

Malgré moi, je garde les jambes très ouvertes, alors que mon instinct me demande de les refermer pour me protéger, mais je suis comme dans un état second : mélange de peur et plaisir intense, d’absolue soumission, de douleur, de désir de me donner à mon Maître qui me domine totalement à cet instant-là.

Après une très longue séance de coups répétés sur ma verge ou parfois sur le reste de mon corps, il se saisit de la longue corde. Me recouvre le visage de la serviette que j’avais amenée et commence un bondage. Je sais que nous n’avons pas un temps disponible gigantesque, et il réalise un bondage simple : il lie mes jambes repliées, mes mains à mes genoux, ma verge très serrée, ce qui maintient mon érection.

Il reprend ses coups de cravache.

Bientôt il prend ma jupette qu’il pose sur mon sexe offert, et commence à se masturber dans le tissu doux de sa doublure. La caresse qu’il provoque à travers le tissu est incroyablement érotique pour moi, et me provoque des gémissements mélange de frustration et de plaisir.

Mais il arrête sa masturbation, m’ordonne de me délier moi-même, me fait me remettre à quatre pattes, je suis éblouie par sa verge en totale érection. Je rêve de la prendre dans ma bouche, mais je sais bien que ça n’est pas son désir maintenant.

Il me force à ôter mon plug, sans ménagement, et très vite il me pénètre. Il me fouille longuement, avec des va et vient violents. Il possède totalement mon corps et me fouille si profondément que je sens venir le frisson annonciateur d’un orgasme…

Mais il ne me permet pas d’aller au bout de cette pulsion qui nait dans mon ventre, il se retire de moi, se couche sur le dos m’ordonne de me mettre à genoux au pied du lit, et prend possession de ma bouche.

- Fais attention à bien fermer ta bouche, je ne veux pas que mon sperme sorte…

Il me force la bouche par de violents gestes de son bassin qui m’oblige à accueillir très profondément sa verge dans le fond de ma gorge.

Et mon bonheur explose quand je sens sa violente contraction de sa verge et de tout son bas-ventre, et la chaleur de sa liqueur inonde ma bouche.

Je serre délicatement sa verge de mes lèvres, à la fois pour que ma caresse l’accompagne dans son éjaculation, mais aussi pour que le sperme ne puisse s’échapper.

Je voudrais caresser ses testicules, mais il me l’interdit…

Je voudrais garder longtemps sa verge dans ma bouche pour la chérir, mais il ne le désire pas.

Je me sens frustrée, mais le désir du Maître est la loi, et ma frustration obéissante est indispensable.

Je dois tout de suite me rhabiller, et il me remercie.

J’aimerais tant lui prouver ma gratitude pour ce que je viens de vivre, pour l’intensité, le sentiment de soumission magnifique qu’il m’a fait vivre, pour le délice de son sperme qui reste présent en moi…

Mais je dois partir…

 

Par lola
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 15:41

Sachant que je devais partir en déplacement professionnel, mon Maître m’avait demandée les coordonnées de l’hôtel où je devais résider durant ce déplacement.

Il a donc fait passer une annonce sur internet précisant :

 

Bonjour

Je suis le maître d’une soumise travestie. Ma soumise sera présente à l’hôtel xxxx les mercredi 14 et jeudi 15 mars en soirée.

Selon mes instructions, Ma soumise se tiendra à votre disposition pour répondre à vos désirs et vous soulager. Elle vous attendra dans sa chambre d’hôtel travestie et maquillée.

Selon mes instructions, Ma soumise ne recueillera pas votre liqueur en bouche. J’exige qu’avant de la quitter, vous preniez une photo d’elle couverte de votre plaisir et que vous me laissiez un commentaire sur une page qu’elle vous remettra.

Si vous souhaitez utiliser ses mains, sa bouche, ou toute autre partie de son corps, contactez-moi avec une proposition détaillée.

Je n’envoie pas de photo de Ma soumise.

 

Une personne au moins a répondu à cette annonce.

Le soir de mon arrivée à mon hôtel, j’ai communiqué à mon Maître par SMS le numéro de la chambre et je me suis habillée comme exigé par mon Maître :

Bas, string, chemisier, jupette, chaussures à talons hauts.

Mon Maître m’avait simplement de me tenir prête à 21h précise, en gardant la porte de ma chambre non verrouillée.

 

L’homme est arrivé comme prévu à l’heure dite.

 

Il s’est présenté, et m’a tout de suite embrassée sur la bouche. Sa langue m’a fouillée longuement, et il m’a caressé les fesses, appréciant ma tenue.

Rapidement, il a ouvert la braguette de son pantalon et m’a demandée de me sucer. Il ne portait pas de sous-vêtement.

Je l’ai donc sucé tel quel, mais bien tôt je lui ai ouvert le pantalon, et l’ai aidé à le quitter complètement.

Comme j’ai senti l’homme sensible aux caresses, je n’ai pas hésité à multiplier les caresses de mes mains et de ma bouche sur tout son corps. Manifestement il appréciait beaucoup. Je faisais courir ma langue sur ses bourses, sur son ventre, mes mains massaient tout son corps et ses jambes.

Quand sa verge est devenue très dure, il m’a retournée, a ôté mon string, et je lui ai tendu un préservatif.

Je l’ai aidé à enduire mon anus de gel, et très vite il a eu envie de me sodomiser.

Mon désir était si fort de l’accueillir qu’il n’a pas eu de mal à me pénétrer. Et sa verge m’a pénétrée très facilement jusqu’au fond malgré une taille assez conséquente.

Il m’a labourée assez violemment pendant quelques minutes puis s’est retirée avant de jouir. Il a enlevé son préservatif, puis il a éjaculé sur mon visage et dans mes mains.

Il était très satisfait de son plaisir mais il était extrêmement pressé. Il s’est vite rhabillé, et après quelques mots d’excuses pour devoir partir aussi vite, il est sorti de la chambre.

 

J’étais assez déçu car je n’avais pas eu la possibilité de respecter les directives de mon Maître : normalement j’aurais dû présenter une lettre, la faire signer à l’homme, j’aurais dû lui demander de prendre des photos. Et je savais bien que mon Maître serait mécontent de l’absence de trace de la soirée.

 

Mais je n’avais rien pu faire devant l’urgence de l’homme.

Par lola
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Dimanche 18 mars 7 18 /03 /Mars 13:02

Ceci relate la nuit de soumission que mon Maître m’a imposée dans la nuit du 14 mars. C’était la toute première fois qu’une telle nuit se présentait. La circonstance de nos deux disponibilités est très rare et nous avons soigneusement organisé cette soirée.

Nous avions eu plusieurs échanges concernant mes limites et la conclusion était que la seule vraie limite que je lui demandais et qu’il a acceptée était que je ne devais pas avoir de marque permanente sur mon corps.

Le mot permanente avait une grande importance ici, ce qui signifiait qu’il pourrait m’infliger des marques temporaires.

Bien sûr, tout cela avait à voir avec la douleur, les contraintes, l’obéissance. Mes rares expériences de la douleur représentent pour moi un frisson extraordinaire. Non pas que le puisse dire que j’aime la douleur, ou que je la supporte avec indifférence. Mais c’est ce qui pour moi représente le geste de soumission le plus fort. En acceptant cette absence de limite, je savais que peut-être je ne serais pas à la hauteur. Je sentais que mon Maître était capable d’exercer son droit et son autorité, mais je décidai de lui faire confiance.  Et surtout j’acceptai le risque de ne pas être suffisamment forte pour le satisfaire et donc le décevoir.

La soirée débuta après les incontournables gestes liés à l’organisation, rendez-vous à la gare, bavardage dans la voiture, le trajet en voiture jusqu’à la maison. Ce moment était important pour moi car il me permettait de me mettre dans l’état d’esprit délicieux et tant désiré de la soumission.

Comme je ne devais pas revêtir de tenue particulière pour ce moment, je me sentais très impatiente, et je me sentais très mal à l’aise dans ces habits trop décalés, que je trouvais indécents à ce moment précis, juste à côté de mon Maître. J’aurais tellement préféré me présenter à lui soumise, femelle, salope, exhibée, arborant les attributs nécessaires à mon état d’esclave soumise.

Mais heureusement, dès l’arrivée dans la maison, je respirais car très vite mon Maître donna ses ordres : visite des lieux et mise à nue intégrale de la soumise.

Mon Maître a immédiatement étalé sur le lit tous les accessoires que j’avais amenés pour lui :

Jupette, bas, chemisier, guêpière, chaussures à talons, collier de chienne, plug anal, préservatifs, gel, pinces à seins, cordes.

Il a tout de suite posé le collier de chienne, ce qui a représenté un bonheur incroyable. Se sentir nue, démunie, avec l’attribut parfait de la soumise…

Passage à la salle de bain, il pose du plug anal, sans douceur, puis je dois entrer dans la baignoire. Il monte sur le meuble, ce qui le met en position surélevée par rapport à moi. Il sort sa verge de son pantalon, je devine alors ce qu’il se prépare à faire. J’ai un petit serrement au cœur car cette première fois, je l’avais tant désirée, et je la désire infiniment à cet instant.

Il veut que je lui demande de ‘le’ faire.

Je ne savais pas que ce serait si dur, malgré mon envie incroyable qui me brûle les entrailles. J’ai un moment d’hésitation et je m’entends dire, et à plusieurs reprises :

 

-          Oui Maître je désire recevoir votre urine sur moi, s’il vous plait, je voudrais que vous le fassiez.

 

Il lui faut un certain temps pour que le jet brûlant s’exprime enfin. Et je réalise alors que pour lui aussi, c’est un moment qui n’est pas évident ce qui me remplit d’émotion, et je voudrais le remercier de ce qu’il fait pour moi, à cet instant.

Il m’arrose, j’ai tellement de désir que je tourne la tête vers lui et le jet atteint mon visage. J’ouvre ma bouche, mais le jet s’épuise prématurément. Il s’écarte :

 

-          Rince-toi et fais-moi couler un bain.

 

Il m’abandonne pour quelques temps pour préparer la suite de son scénario, piochant dans les affaires féminines disponibles dans les armoires.

Lorsque le bain est prêt, j’avais ordre d’aller le chercher.

Je dois simplement attendre, debout, pendant qu’il se prélasse dans son bain.

Je me sens parfaitement bien, disponible, soumise.

Il prend son temps et profite de ce moment de détente.

Lorsqu’il souhaite sortir du bain, je le sèche avec une serviette.

Au moment de la sortie du bain il m’ordonne :

 

-          Va chercher de quoi te punir, sois imaginative.

 

Je trouve deux accessoires qui  - je pense - vont l’aider à me punir : une palette en bois pour la cuisine et une ceinture en cuir.

Je le rejoins dans la chambre, où il m’a préparée plusieurs habits que je dois revêtir : une jupe blanche à fermeture éclair, un chemisier en tissu vaporeux, une culotte en dentelle, et je dois aussi enfiler des bas et les chaussures à talons.

Lorsque je suis prête, je reviens dans la chambre, il commence par attacher mes poignets dans le dos, très serrés. Puis, il me fait allonger sur le sol, à plat ventre, ce qui est très inconfortable. Il ouvre largement la fermeture éclair de la jupe afin d’exhiber mes cuisses et mes fesses.

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Alors commence en effet la punition, et il frappe mes cuisses et mes fesses, je ne peux pas voir bien sûr, mais je sens la sensation de brûlure qui monte avec les coups qui atteignent les fesses et les cuisses.

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Un peu plus tard, je dois me relever ce qui est assez compliqué puisque j’ai les mains toujours attachés dans le dos, et aussi je ressens la brûlure qui continue de cingler mes fesses.

Je dois me coucher sur le dos sur le lit.

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Il attache mes chevilles à mes poignets en une position très contraignant qui me force à garder les jambes très ouvertes me laissant absolument sans défense et exposant mon sexe à son désir de punition.

Il enfonce une culotte dans ma bouche pour m’empêcher de crier ou de me rebeller.

Et il recommence à me frapper. Parfois ses coups arrivent sur ma verge ou sur mes testicules et la douleur devient vraiment très forte.

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La sensation est vraiment intense alors, et c’est un mélange d’appréhension (jusqu’où ira-t-il) de plaisir (je réalise que ses coups me provoquent une érection) d’amour pour lui, qui a si bien compris ce dont j’ai besoin, d’émotion dans ce moment où je sais maintenant que j’aime fabuleusement m’offrir à ses fantasmes.

Je sursaute à chaque coup, je ne sais pas s’il utilise la palette en bois ou la ceinture. Parfois, je ressens comme des piqures sur mes testicules, mes cuisses et je crois reconnaître la boucle de la ceinture (plus tard, je constaterai que j’ai en effet une petite blessure superficielle à un testicule)

Il m’ordonne de me masturber.

Et il fixe mon rythme de cette masturbation très intense. Manifestement il désire que je jouisse rapidement.

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Il enfile un tissu sur ma verge et je dois me masturber par-dessus cette gaine assez soyeuse (plus tard je comprendrai que c’était un bas et qu’il souhaitait que j’éjacule dans ce bas)

Il continue de temps en temps de me frapper pendant que je me masturbe. Ma sensation est là aussi très étrange : la douleur des coups, la force trop brutale qu’il impose à ma main qui masturbe, l’inconfort extrême de ma position (je suis toujours attachée).

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Finalement sous ses ordres, je finis par éjaculer ce qui est assez pénible car l’inconfort à tendance à limiter mon érection. Et je jouis quand même, sans doute plus par le sentiment de soumission qu’il m’a imposée, par l’excitation de l’exhibition de l’esclave offerte que par le geste de ma main qui ne m’est pas du tout agréable.

Le côté désagréable de cette masturbation est d’ailleurs augmenté par la frustration d’être obligée d’éjaculer, ce qui est une terrible punition pour moi à cet instant, qui ne désire qu’une seule chose : apporter du plaisir à mon Maître, et surtout pas en ressentir moi-même.

Maintenant que je suis vide, il peut laisser libre cours à son plaisir et il me libère un peu les poignets et les chevilles afin qu’il puisse profiter de mon corps, puis il m’enlève le plug anal, là aussi sans aucune douceur, ce qui est normal, bien sûr, je ne dois pas attendre de douceur dans ce geste qui est seulement guidé par l’impatience de me sodomiser.

Je l’aide, heureuse, à guider sa verge à l’entrée de mon anus qui s’est ouvert.

Je suis comblée lorsqu’il me laboure, lorsqu’il me remplit le ventre, lorsqu’il me possède. Je m’ouvre à sa virilité que je désire comme jamais.

Je voudrais qu’il jouisse, qu’il trouve son plaisir de mon corps infiniment soumis.

Mais il préfère se retirer. Il ôte le préservatif, et m’ordonne de le caresser. Je dois aller chercher un tissu doux pour lui caresser la verge.

Je trouve un foulard de soie avec lequel j’enveloppe sa verge. Je le masturbe longuement, je varie le rythme, je me sens tellement maladroite alors que mon désir de lui procurer du plaisir est à son comble.

Je sais que mes imperfections pourraient atténuer son plaisir, je sais aussi que si je ne lui fournis pas suffisamment de plaisir, il sera en droit de me punir à nouveau, puisque le rôle d’une esclave est exactement ça.

Bientôt il se prépare à jouir.

Je lui montre que je suis prête à recevoir sa liqueur adorée comment il le souhaitera. Secrètement j’espère que c’est ma bouche qu’il choisira, mais sans doute parce que je n’ai pas mérité ce bonheur, c’est son ventre qui reçoit son sperme.

Obéissante, je lui essuie soigneusement son sperme d’un linge doux.

 

La soirée érotique est terminée. Il désire dormir.

Je dois réinstaller mon plug anal, et je dois aller dormir dans une autre chambre, seule, et je dois garder le collier et plug toute la nuit.

 

Nous nous souhaitons bonne nuit. Je dois préparer un réveil pour que ce soit moi qui le réveille en douceur au matin.

 

La nuit a été assez compliquée car mon sommeil est resté difficile à venir, à la fois par l’excitation de cette soirée très forte, mais aussi par l’inconfort du collier et du plug anal.

 

Réveil.

 

Il est 6h du matin.

Je rejoins mon Maître dans son lit. Je m’agenouille au pied du lit. Il dort bien et je le caresse doucement pour le réveiller en douceur. Très vite il m’indique qu’il veut que je lui caresse la verge.

Je glisse ma main sous la couette et prends sa verge qui grossit très vite lorsque je la saisis.

Je dois être très attentive à laisser venir son désir progressivement, sans le brusquer, mais aussi être attentive au moment où mon geste devra devenir plus fort.

Je suis tellement heureuse d’avoir à appliquer toute mon attention à la venue douce de son plaisir.

Je perçois qu’il est temps de relever la couette et que ma bouche prenne le relais de ma main.

L’émotion me saisit lorsque sa verge entre dans ma bouche.

J’essaie de m’appliquer à le caresser avec douceur et amour de ma langue, ce qui ne représente aucun effort mais qui demande toute ma concentration pour détecter son excitation montante.

Il s’aide de sa main mais garde son gland dans ma bouche et le bonheur m’envahit lorsque je sens le jet brûlant qui inonde ma bouche et ma gorge.

 

Nous prenons un café, puis la toilette.

 

Il est temps de raccompagner mon Maître.

 

Les dernières recommandations puisque je devrai, ce soir, être offerte à cet homme que je vais rencontrer.

 

Mon Maître, sachant que je pars en déplacement professionnel dans la ville de G., a passé une annonce pour trouver un homme qui pourra me rencontrer à l’hôtel ou je vais résider pendant ce déplacement.

 

Cette annonce a été réussie, et mon Maître m’a expliquée que je devrai, ce soir, recevoir un homme à 21h, dans ma chambre d’hôtel, et me donner à lui, et lui donner du plaisir.

 

Je n’ai aucun autre détail.

 

Je devrai transmettre à mon Maître par SMS le numéro de ma chambre, et lui-même transmettra à cet homme les coordonnées. Je dois laisser ouverte la porte de ma chambre …

 

J’ai tellement envie de vous remercier, Maître de cette soirée qui a représenté une telle émotion, et qui me montre que je ne suis en effet qu’une femelle esclave et soumise. Et que j’adore recevoir ses ordres et ses coups.

 

Lola

Par lola
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Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 14:51

 

Ce soir, mon Maître me fait l'honneur de m'accepter pour une soumission de toute la nuit.

Je ne sais pas encore ce qu'il m'a réservée, mais je pense que ça va être très éprouvant.

Les seule limite qu'il m'a autorisée est:

 

Pas de marque permanente sur mon corps

 

Par ailleurs, étant en déplacement professionnel pour quelques jours, mon Maître (ayant tous les détails de mon déplacement - la ville en particulier) a diffusé une annonce sur internet par laquelle il m'offre à un homme pendant mon déplacement à l'hôtel.

 

En effet, il vient de m'annoncer, qu'un homme a répondu à son annonce et donc je devrai recevoir cet homme à mon hôtel. Je devrai simplement transmettre à mon Maître le numéro de ma chambre d'hôtel dès que je l'aurai, ainsi c'est lui qui, en retour, avertira l'homme de ma chambre.

 

Ainsi je ne pourrai pas savoir qui va soumettre. Je suis très excitée par cette épreuve qu'il m'impose. Et j'espère que je saurai lui faire honneur, et me comporter vraiment comme il l'attend de moi.

 

Je remercie humblement mon Maître de tout mon coeur pour la qualité du dressage qu'il m'impose et qui m'est tellement nécessaire.

 

 

 

Par lola
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