Voici le récit de la séance du 30 novembre, commandée par mon Maître.
Hier soir, après que je l’aie conduit à son hôtel, mon Maître m’a confié un mot de directives.
Lola,
Tu trouveras ci-dessous les instructions pour notre rencontre de demain mercredi 30 novembre 2011.
Tu te prépareras dans ma chambre d’hôtel, comme à ton habitude.
Ta tenue sera celle d’une femelle prête à recevoir son homme. Ton anus devra être occupé par un plug, ta bouche outrageusement maquillée de rouge (prévois le maquillage nécessaire) et des
bas/chaussures. Pas d’autres vêtements, prévois une serviette pour sortir de la chambre.
Sur le lit tu laisseras ta pince à seins, du gel et les préservatifs, les cordes, un bandeau pour les yeux, un appareil photo ainsi qu’une tenue complète de ta femme (sous-vêtements, jupe et
chemisier)
Juste avant mon arrivée (vers 18h30-19hje te SMS) tu sortiras de la chambre pour aller dans une des douches ou toilettes de l’hôtel (d’où l’utilité de la serviette). Ue fois que je serai
arrivé, tu me retrouveras dans ma chambre.
Sois consciencieuse dans le respect de ces ordres !
J.
Je me suis longuement préparée, j’avais choisi les vêtements demandés et à 18h je me présente à l’hôtel. J’ai simplement enfilé les chaussures à talons (je porte les bas et le porte-jarretelles
depuis le matin) avant de quitter la voiture, car je sais qu’à partir de cet instant je suis effectivement une femelle soumise qui appartient à son Maître. Et je dois en être fière, peu importe
que des gens remarquent ma tenue.
J’ai reçu le code d'entrée par SMS et je m’installe, je sors tous mes accessoires et les expose sur le lit. Puis je me déshabille en ne gardant que les bas et le string, je prépare ce que je dois
emporter dans la douche : gant, la poire à lavement, le rouge à lèvres, le plug, et bien sûr le téléphone pour recevoir l’ordre de revenir.
En posant ma serviette sur me reins, je sais que si, en sortant de la chambre, quelqu’un me voit dans le couloir, on comprendra ce que je suis. Mais j’assume, car je dois à mon Maître cette
obéissance.
Mais il n’y a personne, et je m’installe dans une douche. Je lave attentivement mon anus avec la poire à lavement, j’enfile doucement le plug en moi, et je peins mes lèvres avec le pinceau et le
vernis à lèvres. Puis, je remets la serviette sur mes reins, je chausse mes chaussures à talons, et j’attends le SMS libérateur.
Il est 18h55.
Je me sens bien d’attendre, soumise, les ordres de mon Maître, enfermée dans cette douche très inconfortable, mais qui convient si bien à ma situation.
19h10 le SMS arrive : ‘Viens’
Mon Maître est déjà nu, et à peine le temps de s’échanger un bonjour il me bande les yeux avec cette large écharpe très opaque, qui lui permet d’assurer une tenue fiable pendant toutes les
manipulations qu’il va décider.
Il me fait ôter mon string, et me fait enfiler cet autre sous-vêtement de femme, puis le soutien-gorge, puis enfin la robe que j’ai préparée. Il installe aussi le collier de soumise avec la
laisse, qui reste pour moi un des symboles les plus forts de ma soumission acceptée.
Ensuite, il m’attache les mains croisées dans mon dos par une des cordes. Je sens qu’il utilise alors l’appareil photo. Il doit me conduire pour m’emmener à l’endroit qu’il souhaite car je suis
très malhabile, mains attachées et sans la vue, et le sentiment de dépendance est magnifique.
Il m’attache les chevilles et me pousse pour que je sois à genoux devant le lit, fesses tournées vers lui. La position est très inconfortable car je ne peux pas me retenir en tombant face contre
le lit, mais je lui fais confiance. Je suis à genoux, face sur le lit, c’est presque douloureux comme position, j’ai du mal à respirer, avec le collier, les mains et les chevilles bloquées.
Il joue avec mon plug, s’énerve un peu car il me reproche d’avoir l’anus trop serré mais malheureusement je ne sais pas comment lui obéir. Alors il décide de manipuler le plug en force. Il se
sort, il le rentre plusieurs fois, il ajoute un peu de gel. Progressivement, la douleur s’efface, et bientôt, il arrive à enfoncer le plug en un seul geste. Je me sens tellement offerte alors
qu’il exhibe sans la moindre pudeur mon anus.
Il veut détacher mes chevilles, je suis obligée de rouler sur le côté, et là il libère mes chevilles.
Il me remet en position, libère aussi mon anus, et me sodomise rapidement. Il glisse en moi longuement, joue avec son plaisir, je suis heureuse, la sensation est magnifique, très douce, chaude.
Sa verge est comme du bois au fond de mon ventre.
Il me retourne, me met sur le dos, il me pénètre à nouveau.
Il attache une corde à mes bourses, très serrée, et me fait tenir le bout de la corde entre mes dents afin que moi-même je maintienne la tension.
Il me fesse un peu, me fouette un peu sur les cuisses, sur les testicules. Il me remet le plug pour pouvoir me fouetter plus facilement sans doute. En écrivant ce texte je me sens obligée d’être
sincère selon ses ordres, et j’avoue que j’avais soudainement envie que son geste soit plus fort, bien plus violent, peut-être que ce désir est interdit…
Il me demande de me masturber, je sais qu’il me le demande toujours mais c’est vraiment ce que j’aime le moins dans ses exigences. Manipuler ma verge me met mal à l’aise, me rappelle
douloureusement que je ne suis pas tout à fait une femme, mais aussi que ma soumission ne devrait pas autoriser le plaisir, mais je dois obéir, contre mon gré. Je me permets de lui demander de
m’autoriser de ne pas éjaculer dans la robe (je sais que c’est ce qu’il aime, que j’éjacule dans mes vêtements), juste il m’ordonne de continuer de me masturber, de me contenir, et que si je ne
veux pas éjaculer dans la robe, je ne jouirai pas du tout. Je suis heureuse même si la sensation est terrible de se masturber sans espoir…
Plus tard, il me remet sur le ventre et me prend enfin car il me dit qu’il va jouir dans mon ventre. Là je sais que toutes mes frustrations vont s’évanouir avec sa verge très en forme après cette
séance de soumission très dure, qui l’a bien excité. En effet maintenant il me laboure avec une énergie que je n’ai sans doute jamais connue, et je suis heureuse quand son ventre frappe mes
fesses, quand sa pénétration finit par être douloureuse tant il vient profondément en moi, et je sens qu’un frisson nait en moi, je gémis ma respiration s’accélère, je suis au bord de l’orgasme,
et c’est lui qui jouit violemment en s’agrippant à mes hanches.
J’aime tellement ce moment où le Maître a joui de sa soumise.
Doucement, il me libère de toutes mes entraves, les cordes, le collier, il m’aide à me déshabiller, je range toutes mes affaires, quelques mots doux. Il est toujours nu, je ne peux résister à me
mettre à genoux et à saisir sa verge encore un peu dure dans ma bouche et de savourer encore un peu de ces saveurs qui me rendent folle. Mais malgré le plaisir qu’il ressent, il termine la séance
définitivement et nous nous séparons.
Je me sens si bien maintenant, en retournant dans la circulation…
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