Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 09:31

Aujourd’hui comme mon maître, l’a autorisé, je me rends à l’après-midi Prisca, aux Caves du  Lys en l'Isle à Paris.

Je prépare ma tenue :

Bas noirs, guêpière rouge, chemisier orange, soutien-gorge, string blanc, jupette écossais, talons hauts, ruban rose à la cheville, bracelets, collier, perruque blonde.

Mais, il fait assez froid, alors je suis obligée de rajouter mon pull en laine et ma parka. Evidemment mes talons, mes bas, la perruque, le ruban à la cheville sont toujours visibles.

Je viens à Paris en voiture car je veux arriver travestie. Je trouve un parking souterrain et je me change  dans la voiture. Je suis terriblement excitée et émue car le trajet depuis le parking jusqu’aux Cave du Lys représente bien 10 mn de marche.

En sortant du parking, je me sens belle et désirable. Je rêve de rencontrer le regard d’un homme qui me désirera… mais d’un autre côté, je suis assez troublée de mon apparence. Je me sens tellement bien en femme. Par ce temps pluvieux, humide et froid, les gens sont assez emmitouflés (même si les femmes ont largement adopté cette mode superbe des collants plus ou moins transparents portés avec des jupes très courtes, et je me sens si bien en accord avec elles !!)

Et en effet, je n’ai que peu de regards curieux… j’adorerais croire que cela signifie que je suis considérée comme une femme !

Je trouve le lieu. Je suis en avance (en théorie ça ouvre à 14h et il est 13h30) mais en essayant je constate que la porte est ouverte. Une jolie travestie m’accueille. Je me présente comme nouvelle ici…

Alors elle m’explique comment ça fonctionne très gentiment… je paie l’entrée, je vais déposer mes affaires dans un casier dont on me confie la clé.

Je prends le peu de maquillage que j’ai amené : fond de teint, maquillage pour les yeux, et je pars à la salle de bain qui est spécialement mise à disposition pour les personnes comme moi. Puis je pars en exploration du lieu.

La salle que je traverse est faiblement éclairée… Il y a quasiment personne (c’est trop tôt) et je parcours les salles. Il a plusieurs salons avec des fauteuils et des tables basses mais aussi des salons avec des lits. Il y a un étage, un hammam.

Maintenant je commence à croiser quelques hommes, mais pour l’instant je suis la seule femme.

Je monte un escalier pour explorer : un homme est assis en haut des marches, en train de fumer. Manifestement c’est le coin fumeur !

On engage la conversation. Il est immédiatement intéressé par moi. Comme il est assis son visage est au niveau de ma jupette. Très vite il glisse sa main entre mes jambes et me caresse les fesses. Il accompagne son geste de mots admiratifs. Nous descendons et rejoignons la salle principale. Plusieurs personnes sont arrivées entre temps.

J’exprime le désir d’aller boire un café. L’homme me laisse et me dit à tout-à-l’heure.

Le bar est à l’étage supérieur, et je discute un peu avec la travestie qui accueille les clients.

Plus tard je redescends et je m’installe dans un fauteuil d’un salon. Deux hommes bavardent. Bientôt, l’homme que j’avais rencontré vient s’asseoir à côté de moi. On discute sur le lieu… Il passe son bras sur mes épaules et m’embrasse sur la bouche.

J’aime bien son baiser très viril, où sa langue se fraie un passage très volontaire entre mes lèvres. Il me caresse la jambe et apprécie ma tenue. Il dit bonjour à une travestie qui passe. Manifestement c’est un habitué.

Tout de suite il me demande si je suis avec quelqu’un. Je sens qu’il cherche une relation permanente. Alors je lui explique que j’appartiens à un Maître et précisément sous ses ordres que je me trouve ici. Il comprend la situation.

Il me fait lever et m’entraîne dans un petit salon particulier fermé par une simple porte à barreaux. Il m’explique que tout le monde pourra regarder ce que l’on fait.

Ses baisers sont fougueux et passionnés. Manifestement mon apparence le trouble au plus haut point. C’est un homme d’environ quarante-cinq ans, bien bâti, assez grand, très viril, habillé très standard, pantalon et chemise.

Il sort sa verge et me demande de la sucer. Elle est très épaisse et malgré qu’elle ne soit pas encore très développée, je sens qu’elle sera bientôt assez impressionnante. En effet, rapidement, une fois dans ma bouche, elle commence à grossir considérablement.

Il m’a dit qu’il va me pénétrer. Je lui dis rapidement que cela devrait se faire avec des protections. Il approuve sans nuance… je suis soulagée.

Il s’était muni de préservatifs et de gel (qui sont disponibles dans des distributeurs un peu partout)

Alors il m’explique qu’il a pris un cachet de Viagra pour lui permettre de rester en forme très longtemps. Je lui explique que je ne connais pas l’effet que ça produit, que j’en ai jamais pris et je ne n’ai jamais rencontré quelqu’un qui en prenne. Il m’explique que le cachet fera son effet dans quelques instants.

Alors je le suce abondamment, je le caresse tendrement. Il apprécie manifestement mes attentions. Et je constate l’efficacité de l’ambiance qui s’est créée entre nous (ou est-ce l’effet du viagra !) mais sa verge commence à présenter une taille tout à fait remarquable, ce qui me procure un frisson assez profond d’une part par la sensation de ce gland énorme qui entre dans ma gorge, mais aussi par l’idée qu’il va me sodomiser avec cet engin dans quelques instants.

Il me demande de me retourner, de me mettre en levrette. Il enfile un préservatif. Enduit mon anus intérieurement et extérieurement de gel. Il joue longtemps avec son doigt en moi, me masse l’anus longuement. Puis pose son gland que je sens énorme contre l’entrée de ma chatte impatiente.

La surprise est que son entrée est douce malgré l’extraordinaire sensation d’ouverture de mes chairs. Sans doute, ses doigts ont bien fait leur travail, et aussi l’ambiance du lieu, de me savoir exhiber et ouverte !

Il entre doucement  mais très profondément. Il reste en moi, puis commence à bouger, à sortir et entrer. Je sens la dureté de sa verge qui m’éblouit. Très vite je vais ressentir la chaleur qui me fait frémir, fondre, crier.

Alors, pendant deux heures au moins, il va me labourer, sans relâche. Sa résistance est impressionnante.

De temps en temps, il sort de moi, me redresse, ôte le préservatif, me fait mettre à genoux devant lui. Parfois, dans ce moment-là il me positionne juste devant la porte que seuls quelques fins barreaux isolent de la grande salle, et des hommes restent là, à nous regarder.

Il a voulu que je garde mon string, qu’il écarte simplement de mon entrée lorsqu’il me sodomise, mais plus tard, il préfère que j’enlève ma jupette.

Chaque fois, après quelques minutes de jeu dans ma bouche, il réinstalle un préservatif, remet abondamment du gel en moi, et c’est parti pour de longues minutes de labourages très intensifs. Il me fesse de temps en temps. Mais les coups de mon Maître J. me manquent un peu.

Plusieurs fois, comme l’alternance bouche chatte revient souvent, nous manquons de préservatifs et de gel, alors, c’est moi qui doit traverser la salle qui s’est sensiblement remplie maintenant. Je m’attache à offrir ma meilleure démarche féminine et offerte par respect à mon Maître. Parfois des mains s’égarent sur mes formes. Mais comme il est évident que je suis en main, et personne n’insiste.

Malheureusement, mon amant n’a pas souhaité me partager avec d’autres (il dit que quand il en aura fini avec moi, je serai libre de m’offrir à d’autres) par contre il apprécie que je sois exhibée.

Le jeu des alternances est interminable mais magnifique. Il me confirme que c’est grâce au viagra qu’il a pris, mais je reconnais que l’effet est impressionnant.

Mais je dois penser que je ne pourrai pas rester indéfiniment ici, et en demandant l’heure à un de nos voyeurs, nous apprenons qu’il est déjà 16h.

Ça fait presque deux heures qu’il me baise quasiment sans interruptions.

Il est toujours terriblement excité, il me dit qu’il aimerait jouir librement en moi, mais je reste ferme sur le fait de rester protégée. Je le sens très frustré, mais il accepte avec beaucoup regret.

Le petit revers de la médaille du viagra, c’est qu’il aimerait bien jouir, mais manifestement, ça devient un peu compliqué pour lui. Sa verge reste ferme, ce qui est bon pour moi, mais lui a du mal à finaliser …

Finalement, nous baissons les bras de fatigue après deux heures terribles. Lui est trempé de sueur, ma chatte commence à être magnifiquement douloureuse. Mais la sensation d’écartement reste toujours aussi intense.

Il sait sortir lentement, puis entrer en moi sur le même rythme lent, jusqu’à ce que son pubis cogne mes fesses, et recommence mille fois ce geste qui me rend folle.

Enfin, nous arrêtons, nous voudrions bien nous revoir, mais il ne souhaite pas échanger nos adresses email. Je lui demande de contacter mon Maître, pour lui décrire mon comportement de soumise offerte, mais il refuse aussi. J’ai essayé de lui demander de me prendre en photo dans le lieu, mais il m’explique que pour des raisons de confidentialité, les photos ne sont pas les bienvenues ici.

Alors je pars me démaquiller, puis je vais me rhabiller.

Maître je voudrais tellement que vous soyez avec moi !!!

 

 

 

Par lola
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