christianbi

Aujourd’hui, je dois acheter un soutien-gorge afin d’améliorer ma féminisation, ainsi que mon Maître me le demande.

Mais comme l’idée c’est d’être féminine, j’ai pensé que mon Maître aimerait que je joue le jeu à fond, pour mériter d’être sa soumise.

Il est 14h je vais partir à Paris, mais avant je me suis préparée :

Epilation complète et très soignée, surtout les jambes.

Vernis sur les ongles des mains et des pieds.

La tenue : bas couleur ivoire. Serre-taille remonté haut avec les jarretelles bien posées pour assurer la tenue des bas. Un tanga blanc. Chemisier et les chaussures à talons. Une ceinture par-dessus le chemisier.

Il est facile de se garer à Paris fin juillet.

Je sors de la voiture. Debout à côté de la voiture, je remonte mes bas en attrapant les jarretelles ; j’essaie de me représenter la position du bas de ma jupe par rapport à la dentelle des jarretelles. Je pense que ça va aller : on ne doit pas trop voir les jarretelles. Je commence à marcher. C’est le bonheur de se sentir femme : le bruit des talons (j’essaie de soigner ma position : bien cambrée, jambes bien serrées, mes fesses bougeant un peu à chaque pas) le soyeux des bas, le regard de clients attablés aux terrasses qui me dévisagent quand ils s’aperçoivent qui je suis, quand ils comprennent que je ne suis pas tout à fait une femme.

Mes cheveux qui volent au moindre coup de vent.

Je remonte le boulevard pour trouver une boutique tenue par une femme. Il me faudrait passer une longue liste de boutiques avant d’en trouver une spécialisé dans la lingerie.

Je passe un long moment devant le rayon des soutiens gorge pour me rendre compte de ce que cela signifie : c’est ma première fois. Je ne sais pas quelle allure j’aurai. Bientôt la vendeuse vient à mon secours. Heureusement, ma tenue ne permet pas de douter que c’est pour moi. La vendeuse a des problèmes pour trouver ma taille surtout au niveau tour de poitrine, il me faut au moins du 95. Finalement elle me conseille d’aller dans la cabine d’essayage pour au moins trouver ma taille elle me confie plusieurs soutiens gorge de différentes tailles, mais elle craint de ne pas trouver la taille.

Je me déshabille avec un peu d’appréhension. J’enlève le chemisier je réajuste le serre taille. Le premier modèle est trop petit. Le deuxième modèle en skaï ne me plait pas trop : je le trouve trop peu féminin.

La vendeuse vient le résultat de mes essayages, elle réalise que vraiment le 95 sera suffisant. Elle repart mais revient vite car elle annonce qu’elle a trouvé un 95 dans le beau modèle que j’avais repéré. Elle me le laisse enfiler. Il y a une grande glace dans la cabine, je me sens belle. Je décide de prendre quelques photos (il faudrait que j’arrive à enlever le bruit du déclencheur qui n’est pas discret).

Je me rhabille en gardant le soutien gorge. C’est très beau de voir les bretelles. Enfin je comprends les femmes qui montrent leur soutien gorge et leurs bretelles. C’est là que je ressens la merveilleuse féminité que ça procure.

Je sors de la cabine mais je sais qu’il me reste une partie de l’ordre à exécuter. C’est la partie sans doute la plus difficile, mais si je ne le fais pas je sais que je me mépriserai comme étant réellement incapable de me soumettre.

Afin de présenter ma soumission, j'ai moi-même écrit une lettre à la place de mon Maître, imaginant ce qu'il aurait voulu y écrire.

Donc, alors que la vendeuse commençait à préparer la facture, je dis (inventant bien sûr ce scénario) :

-          Je dois vous demander un dernier petit service : je suis ici sur ordre de mon Maître qui tenait à ce que je m’achète un soutien gorge pour ma féminisation. Et pour m’assurer que je respecte ses ordres, je dois vus présenter cette lettre, et ce serait tellement que vous puissiez la signer ou apposer une marque

La vendeuse ne parait pas totalement surprise, et lit la lettre très attentivement. Après avoir lu, elle prend un stylo et entreprend de signer, mais je m’aperçois que non seulement elle signe, mais elle rajoute un commentaire que je lirai plus tard avec un tel bonheur !!

Je suis tellement heureuse d’avoir pu montrer ma soumission au grand jour. Je n’ai qu’un regret : que mon Maître soit avec moi pour montrer les gestes de domination dont j’ai tellement besoin à cet instant.

Je vais continuer à marcher un peu, car il m’est impossible d’en rester là. Je veux boire un verre, mais un bar « normal » ne me permettra peut-être pas de mettre en valeur ma nouvelle féminité. Je trouve un bar coquin que j’avais repéré à l’aller.

On m’invite à m’asseoir à une des tables après que j’ai commandé. A quelques pas de moi une fille se livre à une danse très sexuelle avec un homme, consistant en un massage corps à corps, où elle appuie son pubis sur celui de l’homme, tout en se trémoussant.

Ce délicieux jeu dure quelques temps jusqu’à ce que le temps autorisé, est atteint, et l’homme quitte le bar. Le fille me rejoint et s’assied à côté de moi. Evidemment elle essaie de m’inviter à lui offrir un verre, ce qui est la règle dans ce genre de bar. Mais aussi commence à bavarder un peu, en montrant son intérêt pour ma tenue. Mais je réussis à lui dire diplomatiquement que ce n’est pas ce genre de jeu que je cherche, et que plutôt j’aurais été heureuse d’être à sa place lorsqu’elle donnait du plaisir au client.

Elle comprend et réalise qu’elle doit plutôt me proposer de passer un moment avec l’homme qui m’a accueillie et qui ma servie. Je reconnais que c’est un très bel homme et oui j’adorerais lui donner du plaisir, mais je me rends compte que ce genre de jeu sera tarifé et sans doute assez cher.

Finalement elle comprend qu’elle ne me séduira pas, elle va discuter avec le patron et je devine qu’ils parlent de moi.

Mais tout ça n’est pas raisonnable. Je finis mon verre et je sors du bar, mais au moment de partir, je crise le patron qui essaie lui aussi de me séduire, ce qu’il n’est pas loin de réussir, mais il me donne les tarifs pour aller à l’étage inférieur, dans les salons privés. C’est vraiment trop pour moi mais je suis frustrée car l’homme était très séduisant.

Je retourne à la voiture en prenant mon temps pour savourer les dernières minutes d’exhibition de ma féminité.

Chez moi, je vais préparer une série de photos plus soignée pour mon Maître

Je suis si heureuse de ce qui s’est passé aujourd’hui. J’ai tellement ressenti la soumission, et j’ai tellement aimé la montrer.