Journée du mercredi 22 juin en réponse à l’ordre de mon Maître de conserver la séance d’exhibition au sauna « les bains
d’Odessa »
Comme les directives étaient de se soumettre à chaque homme qui le désirerait, il est important qu’ils soient capables de transmettre à mon
Maître leur sentiment sur mon comportement. J’ai donc préparé une petite « carte de visite » contenant les coordonnées mail de mon Maître ainsi que celles de mon blog (celui-ci) à leur
donner pour communiquer les adresses à contacter.
D’abord, j’avais décidé, de profiter de cette séance, et afin de m’entraîner à marcher avec des talons hauts, de partir à Paris avec mes
chaussures à talons. J’ai donc enfilé mon nouveau bas crème à jarretelles hautes. Je suis entrée dans le RER en chaussures normales pour tester le contexte, et voyant que le wagon était très peu
peuplé, j’ai changé de chaussures. Quelle merveille que cette sensation : mon pantalon et les chaussures à fines lanières ne pouvaient en aucun cas dissimuler les bas en tissu presque
transparent, mes ongles vernis, et cette sensation d’être enfin femme me donnait le frisson.
Le parcours dans les couloirs du métro m’a largement donné l’occasion de m’entraîner et à construire mon attitude et mon allure : petits
pas, poser le pied bien à plat, monter les marches en posant d’abord le devant du pied, tortiller du cul, etc.
Je surveillais un peu le regard des gens, mais je n’ai senti que très peu de regards étonnés. Je pense que les gens en fait ne regardent que
très peu les autres… ceci est encourageant pour d’autres sorties de ce type !!
J’arrive au sauna. Il est 12h30.
Je prends une photo avant de me déshabiller complètement pour fixer la vision de mes pieds.
Je commence par me déshabiller complètement et vais prendre une douche. A cette heure il n’y a que très peu de gens.
Visite au hammam. Première rencontre.
Je m’assieds nue sur les bancs du hammam. Un homme s’accroupit à mes pieds et prends ma verge dans sa bouche. Je savoure la caresse mais je
garde à l’esprit que je ne dois pas me laisser aller à la jouissance, s’il continue je lui dirai ma condition de soumise. Mais il se déplace et je me mets à lui caresser la verge de ma main. Je
découvre qu’il porte un plug anal en plastique rose. Je lui montre le mien. Il apprécie ma manipulation: j’enfonce son plug en lui doucement à plusieurs reprises. Bientôt un autre homme se
présente à côté de nous. Commence un jeu à trois : je les caresse tous les deux de ma main, continuant à jouer avec le plug du premier, qui apprécie manifestement d’offrir sa bouche à nos
deux verges. Je ne souhaite pas lui rendre la pareille, car je n’ai pas de préservatif à portée de main. Au bout de quelques minutes de ce jeu à trois, les deux choisissent de partir ensembles,
et je me retrouve seule, ce qui me convient bien car il était temps que je m’habille.
Je rejoins le vestiaire. Je prends mes habits: les bas, la jupette, le serre-taille, les chaussures à talons, et le sac aux accessoires, et je
vais m’installer dans une cabine, où je me prépare.
Je me sens bien et belle ainsi, et je savoure mon plaisir de parcourir les étages et les couloirs de l’établissement. C’est encore assez
vide.
Je décide de me positionner pour obéir aux ordres et donc d’attirer des hommes. Au deuxième étage, il y a deux cabines non fermées (la cloison
est ouverte et simplement occupée par des barreaux). Je m’installe debout, dans le petit couloir entre ces deux cabines.
Je n’ai pas à attendre très longtemps, un homme passe devant moi sans un geste mais en me regardant et va s’allonger devant moi, sur le lit
d’une des deux cabines. J’interprète ce geste comme une invitation, ce que confirme la bosse superbe qui gonfle le devant de sa serviette. Il garde les yeux fermés, mais je pense qu’il
m’attend.
Je m’empare de sa verge très tendue. Là commence une très longue et calme caresse de ma bouche sur ses testicules, sur la hampe de sa verge
qui est magnifique. Il est très peu velu ou bien il s’épile. Je devine, sans que l’on se parle que c’est un jouisseur tranquille. Je joue très lentement avec ses parties sensibles que je découvre
progressivement. Je le frôle, le titille, mais sans chercher à le faire atteindre son point de non retour. Ce petit jeu dure très très longtemps. Manifestement il apprécie mon jeu. Je vois sa
verge palpiter et se redresser quand je fais mine de ne plus le toucher. Je fais glisser mes ongles très doucement sur son périnée. Alternativement, je caresse tout son corps et je reviens
effleurer son gland. Je le frustre, il gémit. Bien plus tard, je décide que je vais le faire jouir. Il m’a quand même dit qu’il ne souhaite pas me pénétrer. Il ne me touche pas. J’ai mis un
préservatif sur sa verge, et je commence à le prendre très profondément dans ma bouche, jusqu’à ce qu’il entre dans le fond de ma gorge. Il lui faut très longtemps pour jouir. Quelle
merveille : il se tord, il crie.
A la fin, je lui explique ce que je suis, et je lui donne une carte de visite. Il parait sincère quand il me dit qu’il vous enverra un
mail.
Plus tard, une autre cabine, un homme s’installe, couché sur le ventre. Je m’approche, je lui caresse les fesses. Il réagit en me tendant deux
gants de latex. Je n’ose imaginer ce qu’il veut. Mais comme je ne suis pas sûre, finalement, je lui demande. Il me confirme qu’il désire un fist. Je lui dis que je n’ai jamais réalisé ce geste.
Finalement, j’accepte d’essayer. Il me guide, et me conseille de largement enduire ma main de gel lubrifiant. Je commence à faire entrer un doigt dans son anus, deux doigts, et très rapidement je
réalise que son anus est vraiment très large. Manifestement il est habitué. Très vite j’arrive à entrer toute ma main, et je joue le jeu en faisant tourner ma main dans son sphincter. Il
apprécie. Mais bientôt, je réalise que son intérieur n’est pas propre, et je ne me sens pas à l’aise. Je décide d’arrêter. Je m’excuse de l’abandonner, mais c’est trop pour moi. J’enlève le gant
très tâché et je me précipite vers un lavabo où je me lave avec soulagement les mains.
Je reviens dans la même zone de cabines et heureusement le fisté est parti. Immédiatement, un homme assez rude m’aborde. Il a vite compris que
je suis une femelle soumise et il m’entraîne dans une cabine dont il ferme la porte.
Il m’ordonne de me mettre à genoux, et il me prend par les cheveux pour que je le suce. Je demande un préservatif. Il me fait lui lécher les
testicules, il me frappe violemment les fesses, il me pince les seins. Je pense à vous, je me sens bien. Il me maltraite en me forçant à exécuter chaque geste qu’il désire.
Plus tard, il m’ordonne de me mettre à genoux sur la couchette. Il m’autorise à m’enduire l’anus de gel, et très rapidement il me pénètre. Il
reste violent mais c’est si bon. Après quelques pénétrations rudes, il me retourne et m’oblige à sucer sa verge et insistant sur le fait qu’il me fait la sucer délibérément juste après m’avoir
pénétrée. Comme j’avais eu mon plug toute la matinée, et que j’avais été aux toilettes au début de ma visite au sauna, j’avais la chatte relativement propre. Mais le goût est quand même assez
fort, mais je me sens si soumise alors !!
Plusieurs fois, alternativement, il passe des moments où il me pénètre, et des moments où je dois le sucer. Après une ou deux allers et
retour, je suis enfin propre, et je peux apprécier ce que je lui donne.
Il jouit alors qu’il est dans ma bouche.
Quand il est calmé, à nouveau je lui explique mon statut qu’il apprécie vraiment. Il me félicite et dit que je suis une bonne petite salope.
Je l’en remercie. Je lui donne une carte de visite et là aussi, il affirme qu’il vous enverra un mail.
Il est 15h. Je pense que je pourrais partir maintenant, la séance a été bien remplie. Je me dirige vers l’espace douche, et m’apprête à
rejoindre les vestiaires pour aller me doucher. Mais alors que je m’étais faite à l’idée de sortir, un homme me parait intéressé par ma tenue. Je ne peux qu’obéir et je le suis dans une nouvelle
cabine.
C’est un tout autre style, il est très doux, il adore ma tenue. Il me caresse longuement les jambes qu’il a l’air d’apprécier fortement :
le nylon du bas, le fait que je sois épilée, il embrasse toute ma jambe, et jusqu’à mes pieds (je suis toujours avec mes chaussures à talons).
Je l’entraîne avec douceur et tendresse pour qu’il étende sur la couchette et à mon tour je le caresse sur tout le corps. Il adore la
douceur.
Il est allongé sur le dos et je le caresse. Je lui installe un préservatif, et je le suce avec beaucoup de tendresse car manifestement, c’est
ce qu’il attend. Sa verge est très dure et assez grosse. Je lui demande s’il veut me pénétrer. Il me répond qu’il me veut sur lui. J’enduis de gel mon anus et m’installe à califourchon sur son
ventre et sans difficulté je guide sa verge en moi.
Je bouge, monte et descend alors qu’il reste sans trop bouger, yeux fermés, mais son calme ne peut pas cacher son plaisir intense, que je sens
à sa forte respiration. Il apprécie mon savoir faire. Mais … il se passe aussi quelque chose en moi et je commence à ressentir une étrange chaleur dans mon ventre alors que je monte et
descend.
Plus tard, je m’extrais de lui et je retourne le sucer. Je change de position, et je l’enjambe en lui présentant mon sexe.
Heureusement il ne cherche pas à me donner du plaisir avec sa bouche, mais au contraire, il me pénètre de un ou plusieurs doigts (je ne sais
pas combien) et là aussi, ses mouvements dans ma chatte commence à produire un frisson qui augmente, augmente, au point que je me mets à crier. C’est un véritable orgasme qui me saisit, je
tremble, je crie, je me tords. J’arrive quand même à continuer de le sucer.
Mais j’arrive à me calmer un peu. Alors je me retourne et m’installe sur le dos à côté de lui. Il revient immédiatement et me pénètre. Je suis
sur le dos jambes en l’air, il me prend de côté. Il continue de me caresser et de m’embrasser les jambes et les pieds.
Et là à nouveau, je vais connaître un autre orgasme. Ce qui est étonnant, c’est que pendant tout le temps où il me pénètre, ma verge est
totalement molle et toute petite. Mon orgasme est uniquement dans mon ventre. Je ne ressens absolument rien dans ma verge.
Il s’est passé une heure avant que j’arrive à le faire éjaculer. Son orgasme est impressionnant, sans cri, mais il tremble, il se tord.
Après qu’il se calme, là aussi je lui explique mon statut. Mais cette fois-ci, il refuse de prendre la carte de visite, et de vous envoyer un
mail. Je lui explique que de toute façon, je serai obligée de tout vous raconter dans le détail, il me demande si le fait d’avoir joui (même par le ventre) est une faute, et si je serai punie. Je
lui réponds que c’est probable, mais…
Bon cette fois-ci, il est 16h et je dois partir. Je m’habille après une douche, je remets les bas les chaussures à talons. Quel bonheur de
porter ces chaussures et les bas.
Voilà cette séance que je considère comme extraordinaire. J’avoue que je n’ai jamais vécu de tels moments.
Ai-je été une bonne petite femelle ?
Maître, j’ai vraiment envie de renouveler cette séance mais avec vous…
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