christianbi

Soirée spéciale de soumission.

Mon Maître m’a convoquée mercredi dernier pour une soirée complète de soumission.

J’ai déjà été chargée de réserver un hôtel afin de que l’on puisse se rencontrer et se préparer tranquillement.

J’avais mission d’accueillir mon Maître correctement, c'est-à-dire en tenue la plus sexy possible. Je suis donc arrivée une heure avant à l’hôtel pour me préparer : douche, rasage intégral très soigné, vernis aux ongles des pieds et des mains (j’avais aussi préparé la forme de mes ongles dans la journée, pour les présenter de façon féminine).

Ensuite je communique par SMS le code de la chambre à mon Maître qui arrive à 19h30. Il est très content de ma tenue et je le sens très excité.

Ma tenue :

Bas, serre-taille avec porte jarretelles, jupette kilt ultra courte, petit haut en filet rouge, longs gants rouge, chaussures à haut talons.

Ensuite mon Maître installe les pinces à seins qu’il avait achetées. La sensation est magnifique, assez forte mais supportable.

Il passe un peu de temps à me prendre en photo. Puis, il me demande de me caresser mais sans jouissance. Je dois enfiler une capote car il veut que j’éjacule et que je boive mon sperme. Il m’installe à quatre pattes sur le lit, et je dois me caresser en faisant attention de ne pas jouir. C’est très difficile car ça fait plusieurs semaines que je ne dois plus toucher mon clitoris, et je sens très vite que l’envie est très forte.

J’entends que mon Maître se déshabille, commence à me frapper de petites claques sur les fesses, et il tirer sur les chaînes des pinces à seins pendant que je me caresse, alors que je sens de plus en plus forte l’envie de finir, et je dois ralentir pour ne pas franchir le point de non retour.

Bientôt, je sens que mon Maître applique du gel sur et dans mon anus, et très vite, il me pénètre. La sensation est absolument délicieuse. Mon envie de le sentir en moi était si forte depuis longtemps, il n’a aucun mal à m’envahir totalement et instantanément. J’adore sa présence en moi, il me fouille assez violemment, mais c’est bon, il m’est encore plus difficile de ne pas me laisser à jouir. Mais il me rappelle à l’ordre.

Mais bientôt je sais que mon sperme va sortir. Je ralentis, et mon Maître jouis, je suis heureuse, à la fois de sentir sa jouissance, mais aussi d’être contrainte de ne pas jouir, je lâche mon clitoris, et à ce moment je sens que le sperme coule. Je me touche à peine, mais pourtant le sperme continue, je suis heureuse car j’ai réussi à ne pratiquement pas ressentir le spasme habituel, le sentiment de soumission est vraiment total à cet instant.

Mon Maître me retourne et me demande ce que j’ai ressenti, et si j’ai éjaculé, puis il m’ordonne de retirer la capote qui est pleine, puis de boire son contenu.

J’aspire la capote dans ma bouche, et tout le sperme se déverse sur ma langue. Bonheur immense de faire ce geste très humiliant devant mon Maître qui m’observe

Puis il me tend la sienne et je dois là aussi aspirer son sperme. Il me demande de comparer les deux goûts, mais je suis bien en peine de répondre, le délice étant au même niveau.

Après un brin de toilette, nous nous rhabillons (je passe mon pantalon car il est un peu tôt pour que je sois présentée au public dans ma tenue féminine). Mon Maître décide que nous allons trouver un petit restau dans Paris afin  d’attendre la suite de la soirée.

Après les difficultés habituelles pour se garer, nous dînons dans un restau italien proche de MDT avant de nous rendre vers 23h.

Je ne connais pas MDT, et je découvre les habitudes du lieu. En entrant je suis accueillie de façon absolument charmante, et mon Maître me présente comme sa soumise, sous mon nom Lola. Je suis conduite dans une petite pièce où je vais pouvoir me préparer, et je retrouve avec un immense bonheur ma tenue. Sur mes hauts talons, je découvre les lieux, un espace bar, où déjà plusieurs personnes de tous les genres sont installées, l’ambiance est magnifique. Mon Maître me fait découvrir le sous-sol, bien équipé en accessoires coquins.

Nous retournons apprécier nos consommations et nous bavardons. Plus tard, mon Maître me fait m’équiper de mon collier de chienne et la laisse, avec lesquels je me sens si bien, si fière de lui appartenir, et que ce soit visible.

Plus tard, il me prête à un homme assez âgé, qui me caresse et que je caresse gentiment (malgré un plaisir évident de me caresser, hélas, son sexe n’arrive pas beaucoup à s’exciter)

Plus tard, mon Maître me fait retourner au sous-sol, en me tirant par la laisse. Là, il m’installe à plat ventre sur un tabouret haut, il relève ma jupette et m’applique plusieurs séries de gifles très dures sur les fesses qui me tirent des gémissements, entrecoupées de moments où je ne suis qu’exposée sans bouger aux regards des autres personnes.

Malheureusement, l’invitation évidente de mon Maître à me prêter n’est pas couronnée de succès. Nous suivons les ébats SM d’un couple. La femme applique consciencieusement une cravache sur les fesses de son mari alternant caresses et coups violents.

Je rêve secrètement que mon Maître me fasse subir le même sort.

Mais il se fait tard, et les obligations de la vie nous obligent à terminer la soirée. Nous retournons à l’hôtel où je vais terminer ma nuit seule, car mon Maître était obligé de repartir.

Pour mon bonheur, je suis restée intégralement habillée en sortant de MDT, jusqu’à l’hôtel. La sensation de marcher dans la rue pour rejoindre la voiture où mes talons hauts claquent sur le trottoir et extraordinaire. J’ai envie de le prendre dans ma bouche à cet instant là…

Je ne me suis déshabillée que dans la chambre. Malheureusement, nous n’avons croisé personne.