Partager l'article ! Séance de punition: Hier mercredi 6 juin. Mon Maître me convoque pour satisfaire son besoin et pour vérifier mon obéissance récente. ...
Hier mercredi 6 juin. Mon Maître me convoque pour satisfaire son besoin et pour vérifier mon obéissance récente.
Je dois me présenter avec serviette, plug, préservatifs et gel.
Je vais en outre apporter la longue corde et la cravache qu’il m’a ordonnée d’acheter.
On se retrouve à l’heure dite à son hôtel, après que je lui aie relaté ma tentative pour exécuter un de ses ordres : je devais me rendre dans une boutique de lingerie, acheter une lingerie, et prendre des photos de mon essayage, puis faire signer une lettre indiquant mon état de soumise par la vendeuse. Je me suis rendue dans une boutique comme demandé, j’ai acheté un soutien-gorge, en indiquant bien que c’était pour moi, mais la vendeuse n’a pas accepté de prendre de photos ni de signer la lettre. Bien sûr ceci est une faute. Et je savais que cela mériterait une punition.
- Tu te déshabilles, tu étales les accessoires que tu as amenés, et tu te positionnes à quatre pattes sur le lit.
Maître fait l’inspection de ce que j’ai amené.
Je n’ai gardé que les bas et la guêpière.
Le premier geste est de m’enduire abondamment l’anus de gel et d’enfiler le plug. Malgré que j’avais posé le plug plusieurs heures dans la matinée, Maître sent bien que je ne suis pas suffisamment ouverte, et il doit s’y reprendre à plusieurs fois pour faire l’entrer le plug, et il termine sans ménagement ce qui me cause une vive douleur.
Puis, il se saisit de la cravache, et commence à essayer cet objet qui est nouveau pour nous deux. Fesses, ventre, seins, dos puis testicules, verge sont les cibles de son dressage. La force va croissante et au début, même si je sursaute à chacun des coups, je supporte sans problème les brûlures. Les coups sur mon sexe sont à la fois les plus éprouvants mais aussi ce sont eux qui m’apportent la plus grande émotion.
J’ai tout de suite le désir d’écarter mes jambes pour qu’il se sente libre d’accéder à ces parties sensibles de mon corps.
La pression augmente.
Il m’ordonne de me mettre sur le dos, me fait largement écarter les jambes. Les coups redoublent. Il se concentre maintenant sur ma verge et plus légèrement sur mes testicules. J’ai énormément de mal de refreiner mes gémissements et surtout je sais que je ne dois pas crier (on est dans un hôtel et les cloisons sont très fines…). Ma plus grande peur à cet instant-là c’est précisément de savoir si je serai capable de maîtriser mon envier de crier.
La force des coups augmente.
Il a maintenant un rythme régulier, toujours sur ma verge allongée sur mon ventre. Je suis en érection, et je ne sais pas si ce sont les coups eux-même qui me la provoquent ou bien la sensation incroyable de soumission qui m’envahit à cet instant.
Malgré moi, je garde les jambes très ouvertes, alors que mon instinct me demande de les refermer pour me protéger, mais je suis comme dans un état second : mélange de peur et plaisir intense, d’absolue soumission, de douleur, de désir de me donner à mon Maître qui me domine totalement à cet instant-là.
Après une très longue séance de coups répétés sur ma verge ou parfois sur le reste de mon corps, il se saisit de la longue corde. Me recouvre le visage de la serviette que j’avais amenée et commence un bondage. Je sais que nous n’avons pas un temps disponible gigantesque, et il réalise un bondage simple : il lie mes jambes repliées, mes mains à mes genoux, ma verge très serrée, ce qui maintient mon érection.
Il reprend ses coups de cravache.
Bientôt il prend ma jupette qu’il pose sur mon sexe offert, et commence à se masturber dans le tissu doux de sa doublure. La caresse qu’il provoque à travers le tissu est incroyablement érotique pour moi, et me provoque des gémissements mélange de frustration et de plaisir.
Mais il arrête sa masturbation, m’ordonne de me délier moi-même, me fait me remettre à quatre pattes, je suis éblouie par sa verge en totale érection. Je rêve de la prendre dans ma bouche, mais je sais bien que ça n’est pas son désir maintenant.
Il me force à ôter mon plug, sans ménagement, et très vite il me pénètre. Il me fouille longuement, avec des va et vient violents. Il possède totalement mon corps et me fouille si profondément que je sens venir le frisson annonciateur d’un orgasme…
Mais il ne me permet pas d’aller au bout de cette pulsion qui nait dans mon ventre, il se retire de moi, se couche sur le dos m’ordonne de me mettre à genoux au pied du lit, et prend possession de ma bouche.
- Fais attention à bien fermer ta bouche, je ne veux pas que mon sperme sorte…
Il me force la bouche par de violents gestes de son bassin qui m’oblige à accueillir très profondément sa verge dans le fond de ma gorge.
Et mon bonheur explose quand je sens sa violente contraction de sa verge et de tout son bas-ventre, et la chaleur de sa liqueur inonde ma bouche.
Je serre délicatement sa verge de mes lèvres, à la fois pour que ma caresse l’accompagne dans son éjaculation, mais aussi pour que le sperme ne puisse s’échapper.
Je voudrais caresser ses testicules, mais il me l’interdit…
Je voudrais garder longtemps sa verge dans ma bouche pour la chérir, mais il ne le désire pas.
Je me sens frustrée, mais le désir du Maître est la loi, et ma frustration obéissante est indispensable.
Je dois tout de suite me rhabiller, et il me remercie.
J’aimerais tant lui prouver ma gratitude pour ce que je viens de vivre, pour l’intensité, le sentiment de soumission magnifique qu’il m’a fait vivre, pour le délice de son sperme qui reste présent en moi…
Mais je dois partir…
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