Le blog de Lola soumise

Je suis appelée par le Maître. Je dois effectuer une exhibition publique, avant de me donner à lui.

Les ordres sont :

  • Je dois être habillée le plus féminine possible
  • Je dois me rendre dans la galerie marchande de Xxx
  • Trouver une boutique de vêtements pour femme
  • Essayer une robe, et demander de l’aide à une vendeuse ou une cliente.
  • L’achat final n’est pas obligatoire. Mais je dois expliquer ma position personnelle soit à la vendeuse, soit à une cliente. Je dois apporter un mot à faire signer.

La tenue que j’adopte :

  • Bas noirs voile
  • Porte jarretelles
  • Mini string
  • Chemisier blanc translucide
  • Soutien gorge
  • Leggins bleu
  • Chaussures hauts talons
  • Veste daim

Hier j’ai fait une reconnaissance des boutiques de cette galerie marchande. Une seule semble offrir des vêtements avec un style qui ira avec ce que je veux.

Je me sens femme avec mes jambes gainées de bleu. Le leggins est assez opaque mais permet quand même bien de voir les jarretelles et la dentelle du bas. J’ai positionné mon sexe masculin très serré afin d’avoir une apparence très féminine et le chemisier ne le recouvre que partiellement.

Je dois me promener dans la galerie marchande jusqu’à ce que le Maître m’aperçoive, ensuite je dois attendre ses instructions.

Même si j’ai accepté ce scénario, je ressens une difficulté et je vois bien des regards désapprobateurs se poser sur moi. Je m’efforce d’adopter une allure le plus féminine, très facilitée par les talons hauts !!

Mais j’essaie de soigner mon allure, le port de jambes, la position du pied qui doit paraître naturelle.

Le Maître m’appelle au bout de dix minutes qui paraissent des heures.

La sensation de soumission est terrible.

Je ne vois pas le Maître à cause de la foule, mais il me dit qu’il me voit. Je dois maintenant entrer dans la boutique.

Je parcours les rayons, j’ai repéré un rayon de robes plutôt courtes et d’un style léger. Je fouille. Très peu de clientes. Il y a deux vendeuses, mais qui restent à la caisse. Elles n’ont apparemment pas l’habitude d’aller spontanément aider les clientes.

Je fais mine d’hésiter entre plusieurs modèles, mais elles ne s’occupent absolument pas de moi.

Je décide d’aller essayer plusieurs modèles.

Je me dirige vers les cabines d’essayage.

Je dois ôter veste et chemisier avant de pouvoir essayer l’une et l’autre robe. Une seule me convient pour la taille. Son prix est suffisamment bas pour que je puisse l’acheter.

Je me rhabille.

Je retourne vers le rayon, j’hésite, je fouille encore. Je cherche si une cliente s’approche, mais quoi lui demander ?

Finalement une femme s’approche, je lui pose une question sur la mention de la taille. Elle me répond en cherchant manifestement à m’éviter, car mon apparence la gène.

Finalement, je n’ose pas explique ma situation de soumise, je me sens tellement une mauvaise soumise, indigne du Maître. Je sais qu’il sera déçu et aura envie de me punir.  

Les vendeuses sont asiatiques et s’expriment mal en français. Je recule devant la difficulté de demander à faire lire mon texte.

Je ressors de la boutique après avoir régler l’achat, totalement effondrée de mon incapacité à aller au bout de mes choix.

Le Maître n’insiste pas trop sur ma désobéissance et nous nous retrouvons plus tard dans sa chambre d’hôtel.

J’ai ordre de m’installer avant lui et d’attendre, préparée, habillée de la robe nouvellement achetée, mains dans le dos, prête à obéir, avec le collier et la laisse.

Il est parti prendre une douche et il arrive uniquement vêtu d’une serviette autour des reins, qu’il enlève dès la porte refermée.

-          Suce-moi, Lola.

Je m’agenouille et tout en gardant les mains dans le dos, saisis la verge à peine en érection, dans ma bouche. Je gémis de plaisir de cette sensation merveilleuse.

Je m‘active et essaie de me faire la plus douce et sensuelle possible, et en sentant la verge grossir, et grossir, je suis heureuse d’effacer un peu la déception du Maître.

Il a très vite envie d’atteindre le fond de ma gorge, et j’ouvre largement ma gorge comme je sais bien le faire maintenant, en contrôlant soigneusement les sensations instinctives de haut-le-cœur. Il apprécie et déploie toute la longueur de sa verge en l’enfonçant au maximum, jusqu’à ce que mes lèvres puissent se poser sur le pubis.

Ensuite je vais varier les gestes, en sortant la verge, en léchant son pubis, ses testicules, en revenant sur le pieu de chair délicieux. Je fais courir la pointe de ma langue sur son gland, cherchant les sensations dans les plus petits recoins.

Mais je dois me mettre à quatre pattes sur le lit.

Il joue avec mes fesses, me tape un peu, enfile le plug assez vivement, comme toujours, la première introduction est douloureuse, mais je ne dis rien.

Il me fait mettre sur le dos, et me frappe les testicules et l’anus avec la laisse, parfois c’est assez douloureux, mais je sais que c’est indispensable compte tenu de ma désobéissance.

Il s’équipe d’un préservatif et me sodomise ce qui me comble de bonheur et de douceur.

Il enchaine sodomie et fellation avec ma bouche.

Il m’oblige à me masturber tout en contrôlant ma jouissance. Il sait que cette masturbation représente une terrible punition pour moi, une humiliation car pour moi, une soumise ne peut honorer son Maître que chaste. Seule la jouissance du Maître est supportable pour la soumise.

Et de devoir éjaculer devant son Maître représente une humiliation terrible.

Mais il l’exige.

Il jouit sur moi, sur mes pieds, sur mon ventre, sur ma robe, ce qui est une marque de soumission très grande pour moi.

Pour la prochaine rencontre je devrai me munir de quatre morceaux de corde de un mètre car il veut m’attacher.

 

Jeu 29 sep 2011 Aucun commentaire