Le blog de Lola soumise
Récit de la soirée du mardi 19 juillet, à l'hôtel de Maître J.
Maître J. m'avait transmise par SMS le code de la chambre de façon à ce que je puisse me préparer avant qu'il arrive:
Voici la tenue qu’il m’avait demandée d’utiliser:
- bas couleur ivoire
- porte jarretelles serre taille rouge
- chemisier à froufroux très féminin
- chaussures à talons (8cm)
- string noir avec un petit bijou sur la taille
- collier de chienne avec laisse
- maquillage aux yeux
- coiffée d’une queue de cheval
Avant qu'il arrive: plusieurs SMS pour préciser la position que je devais adopter à son arrivée: à genoux devant l'ouverture de la porte, et mon premier geste devait être de sortir sa verge de son pantalon et de la prendre immédiatement dans ma bouche puis de la caresser en attendant ses ordres. En l’attendant, j’ai pris deux photos avec mon portable, car ne savais pas comment se dérouleraient la séance.
Mais le même frisson m’envahit le dos dès que je suis sur mes talons, avec les bas, la jupette, le chemisier (juste acheté une heure avant). C’est un tel bonheur de se sentir femme et femme
sexy.
Il est arrivé, et j'ai fait ce que je devais faire: il ne bandait pas au départ, mais très vite une fois dans ma bouche sa verge est devenue dure. hhhhhmmmm! quel bonheur ! C’est à cet instant que je me sens femme, au moment où je sens la force virile qui attend que sa petite femelle honore son membre durci. Quelle douceur que la forme qui durcit sur ma langue, mes joues qui massent le gland, la petite saveur que je sens au bout du gland et qui me fait rêver.
J’avais étalé tous les accessoires de soumission ou de féminisation que j'avais apportés: plug anal, longs gants de soie rouges, lubrifiant, préservatifs, un petit short blanc, une poire à lavements, un bâillon-boule, les pinces à seins.
Il a posé les pinces à seins (malheureusement elles ne sont pas très efficaces car elles ont tendance à glisser et ne serrent pas assez…. Il faudrait que je les change)
Il m'a fait choisir l'accessoire par lequel que je voulais commencer: j'ai choisi le bâillon-boule. Malheureusement c'était une erreur car après je ne pouvais le plus sucer (grande frustration!). la sensation de soumission est bien, et très frustrante…
Il m'a posée à genoux sur le lit et a voulu enfiler le plug anal après avoir lubrifié l'anus. C'était la première fois que je mettais ce plug (que je venais juste d'acheter) et il s'est avéré un peu gros, et j'ai eu mal. Il a recommencé mais cette fois en entrant plus progressivement. Avec un peu de douceur, le plug s'est installé confortablement et là c'était génial!!!
Il m'a ordonnée de me caresser mais avec interdiction de jouir
Mais comme il voulait que je le suce il m'a enlevée le bâillon et je l'ai repris avec tellement de bonheur dans ma bouche. A cet instant j’avais tellement envie qu’il jouisse dans ma bouche ! Mais bon je savais que ce ne serait pas son désir de jouir déjà.
Il a continué à jouer avec le plug, puis il a eu envie de me prendre en vrai (il a enfilé une capote comme prévu)
La pénétration a été très rapide car j'avais été bien ouverte avec le plug
Il m'a labourée pendant longtemps... je n'avais pas le droit de jouir ni par l'anus ni par ma verge
mais quel bonheur de le sentir entrer et sortir de mon ventre mille fois. Je sentais venir le plaisir au fond de mon ventre à chaque fois que son ventre cognait sur mes cuisses
A la fin il est sorti de moi, il m'a fait mettre sur le dos sur toute la largeur du lit il s'est installé debout avec sa verge juste au-dessus de mon visage. Je devais me masturber et il se caressait mais en même temps il me frappait mes testicules et le périnée avec la boucle de la laisse. La sensation était si forte : jambes largement écartées, soumise et offerte. Je me suis permise de l’encourager à augmenter la force de ses coups car j’avais tellement envie de sentir ses coups, j’avais envie de lui offrir ma douleur, fruit de sa domination que je sentais totale à cet instant.
Finalement je n'ai plus pu me contenir et il m'a donnée l'ordre de jouir sur mon ventre. Ca lui a donné envie de jouir lui aussi et nos deux spermes se sont mélangés sur mon ventre
Plus tard, il est parti se doucher et je l'ai suivi juste après
On a continué à bavarder il m’a donné des ordres pour la prochaine rencontre : je dois acquérir un soutien-gorge, mais pour cet achat il me faudra rédiger un texte sur un papier, sur lequel j’indiquerai que c’est pour mon Maître que je m’équipe ainsi. Il est impératif que ce soit une femme qui me serve et je dois la convaincre de signer la papier.
Puis je suis partie le dernier hommage fut un baiser sur la verge de mon Maître (qui s’était rhabillé entre temps).
PS> je rajoute le récit de l’achat du chemisier, que j’ai fait sur la route qui m’amenait à l’hôtel : dans une galerie marchande à Massy. J’avais pris mes chaussures à talons haut (que j’ai chaussés pieds nus). Dès que je marche ainsi chaussée, je ressens un énorme frisson de plaisir, à savoir que ma tenue est absolument visible. De plus, le bruit des talons, ma position cambrée, augmente encore la possibilité d’attirer l’attention des gens.
Il y beaucoup de boutiques fermées…
Finalement je remarque une boutique qui présente un présentoir de chemisiers tous très féminins. Je remarque le modèle qui me plait tout de suite : blanc translucide, manches courtes, avec plusieurs rangées de volants plissés qui agrémentent toute l’encolure, du col jusqu’au ventre. J’hésite pour la taille. Je trouve taille M/L qui devrait m’aller. Là je sais que mon Maître ne sera pas content, mais je n’ose pas demander à essayer, je sais que c’est une faute. Donc je me dirige directement sur la caisse où l’employé, un homme me voit arriver distraitement (il entend le bruit des talons surtout) il m’accueille par un ‘bonjour madame’ qui me met en joie. Malheureusement il se reprend et s’excuse, mais tout doucement, je le rassure en lui disant que c’était bien la première fois, et qu’il n’a pas besoin de s’excuser. Je règle et sors.
Je repère les toilettes qui sont tout à l’opposé (chic je vais parcourir toute la galerie et là encore tous les gens me remarquent, plusieurs se retournent sur mon passage et s’arrêtent).
Dans les toilettes, j’échange ma chemise avec le chemisier que j’adore (même s’il aurait mérité une taille de plus. Je pense qu’avec le serre-taille qui agit comme un corset, il ira mieux).
La sortie de la galerie est superbe, car le chemisier, les chaussures ne laissent aucun doute sur ma nature travestie. Deux copines me croisent et je les entends s’esclaffer dans mon dos. Je suis heureuse et je crois que mon Maître aimerait ça : me savoir exhibée, d’entendre les moqueries. Mais je ne peux pas m’attarder car je dois rejoindre l’hôtel.