Le blog de Lola soumise

Jeudi 28 janvier 2010

 
Mon Maître m’a convoquée pour une session de soumission. Les consignes sont simples, mes dessous de salope, et jupette.    

 

La séance se passera dans la salle de sport de son lieu de travail. J’ai tout préparé ma tenue, malheureusement je ne peux pas trop me préparer à l’avance à cause l’obligation du sérieux exigé à l’entrée (c’est une petite frustration pour moi, car j’aimerais être contrainte à m’exhiber).

 

Mais je dois dire que tout en m’approchant du lieu (c’est juste à quelques km de mon lieu de travail…) je ressens en moi cette transformation qui s’opère en moi comme à chaque fois. Je redeviens la soumise, la salope, obéissante, prête à me soumettre, prête à accepter tous ses ordres, prête à me donner corps et âme pour son plaisir.

 

Il me fait entrer dans le local, selon le rituel qu’il a instauré : j’entre en tant que personne ordinaire, et instantanément, je courbe la tête, je sais que je vais devoir me déshabiller, me doucher, m’équiper de ma tenue de salope soumise, enfiler la cagoule de latex qui enferme toute ma tête, et qui m’aveugle totalement, ce qui est bien car cela me rabaisse exactement à mon niveau d’esclave, et qui me fait sentir être la propriété de mon Maître.

 

Là je ressens alors ce plaisir qui me fait frissonner, de me savoir à sa merci, et totalement ouverte à ses ordres. Je n’ai pas peur, non, car pour l’instant il n’a pas choisi de m’imposer de douleur, ou de contraintes trop pénibles, mais je sais que peut-être cela arrivera plus tard, (peut-être cette fois ci ?). Il ne m’explique pas de quoi sera fait la prochaine séance. C’est sûr, je suis son esclave, et c’est son privilège de Maître, et… c’est aussi ce qui me plait.

 

Là, il a choisi une position très intimiste, il s’est assis sur une chaise, il a installé un serviette style serviette de bain par terre où je dois me mettre à genoux (il explique que c’est pour que la position ne soit pas trop inconfortable)

 

Je comprends qu’il me faut le caresser tout de suite avec ma bouche, je découvre qu’il a gardé son slip, alors je lèche sa verge à travers le tissu de son slip. Sa verge que j’adore sentir, n’est pas encore dure. Et là une forte sensation me donne l’envie irrépressible de caresser son corps, heureusement, je peux me servir librement de mes mains, alors, je me mets à caresser son ventre, ses cuisses, ses genoux, ses jambes, mes gestes sont devenus forts, presque trop sans doute, ma fougue qui me brûle va peut-être le gêner alors je me calme un peu et je deviens douce je fais onduler mon corps pour l’aguicher, le séduire.

 

Je sens bientôt l’effet de mes caresses et je mes lèvres ressentent que sa verge durcit. Mes mains s’infiltrent sous son slip, je retrouve sa toison chérie, je caresse son pubis, j’ai trop envie de sentir sa verge dans ma bouche. Je gémis. Il accepte ma demande heureusement et me laisse baisser son slip.

 

Vite, je l’absorbe. Hhhmmm quel plaisir !!!

 

J’aime bien le goût de son gland qui a l’odeur forte du mâle qui a peut-être uriné il y a peu, une goutte perle encore au méat. Je le suce consciencieusement, je le savoure. Mais bien vite, je sais que je dois laisser mon propre plaisir, alors je masse par mes joues, ma langue, je presse sa verge, je le décalotte pour pouvoir caresser le frein, pour tendre sa hampe, je m’écarte et je lèche toute la longueur de sa hampe, je rejoins son pubis, je lèche sa toison, la base de ses bourses.

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Il m’indique que je dois aspirer ses bourses qui sont si gonflées, si grosses. J’ai toujours du mal à absorber les deux en une seule fois (ma bouche de petite salope est trop petite).

 

Il se met en place pour que je puisse lécher son anus. Je gémis de plaisir quand je sens la douceur et la saveur de son anus. Je voudrais tellement faire entrer ma langue, mais il est si serré.

 

Il va jouer avec moi longtemps de longues minutes de bonheur : il se tourne parfois afin que je lèche tout son anus, sa raie, son périnée. Ou bien se reviens jouer avec sa verge. Ou bien il se masturbe pendant que j’englobe se boules grosses et velues. Et puis je fais attention de caresses ses fesses, ses cuisses, ses jambes, son ventre.

 

Aussi il me retourne pour observer ma chatte, alors je me tortille, autant pour me montrer telle que je suis en vrai, c'est-à-dire une salope heureuse de s’exhiber devant mon Maître, mais aussi pour montrer ma frustration de ne plus sentir sa verge dans ma bouche. Quand il n’est plus en moi il me manque, son corps de mâle me manque.

 

Parfois il ne bouge plus, il ne me claque plus les fesses. Peut-être est il en train de me prendre en photos, évidemment, je ne le sais pas, aveugle que je suis, mais je me montre le plus salope possible, simplement pour montrer ma vraie nature d’esclave.

 

Il me munit d’un gode assez gros. J’ai un peu mal, car il ne prend pas de précaution. Mais je n’ose pas me plaindre, au contraire, j’augmente mes gémissements de plaisir, au fond de moi, même si c’est un peu douloureux, et si ça brûle un peu, je suis heureuse d’être enfin percée. Peut-être serai-je suffisamment bonne salope un jour pour qu’il ait envie de me sodomiser lui-même … j’en rêve. Mais je sais que je n’ai pas le droit de demander. Je dois simplement m’estimer heureuse de cette chance magnifique qu’il accepte de me laisser lui donner du plaisir par ma bouche.


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C’est lui qui se masturbe enfin pour faire venir sa jouissance, en caressant ma tête de latex par sa verge, il me fait ouvrir grand ma bouche pour recevoir si liqueur chérie. Ahhhh cette sensation incroyable quand sa crème délicieuse recouvre ma langue. A cet instant, j’aimerais qu’il m’exhibe en public, j’aimerais montrer ce privilège qu’il m’accorde de savourer son sperme. Ahh ce goût extraordinaire.

 

Il m’a dit une fois « c’est ta récompense ». Oui c’est si vrai. J’ai envie de le caresser doucement, sur son corps. Longtemps je tête sa verge si douce, si savoureuse, je laisse couler doucement son sperme au fond de ma gorge. Mais je laisse surtout s’adoucir sa verge. J’avoue que je suis si émue par la saveur qu’il m’a donnée que j’ai envie de le caresser, de le serrer contre moi, de continuer de la caresser toute la journée.

 

Je me positionne sur le dos, bouche grande ouverte, car peut-être il va avoir envie de … me confier son autre liqueur dorée, alors je lui ouvre mon corps. Il reprend ma bouche, et je continue longtemps à je caresser dans ma bouche, peut-être voudra-t-il jouir encore…

 

Mais il donne le signal de la séparation. J’embrasse ses cuisses, ses jambes… Mais il me faut me rhabiller retrouver mes habits « normaux », abandonner cette tenue que j’aime, qui correspond si bien avec ma vraie nature de salope, qui traduit mon appartenance.

 

Il me raccompagne, et m’indique qu’il va préparer un mail notant la qualité de ma prestation. Je baisse la tête en signe de soumission et d’acceptation.

 

 

 

 

 

Ven 12 fév 2010 Aucun commentaire